Žodžiai dainai: Dick Annegarn. Rhapsode.
Rhapsode rhapsode que racontent tes odes
Qu'est ce que tu vantes l'exode des tiens
Rhapsode rhapsode t'ecouter c'est commode
Quand tu changes de mode lydien
Manque rien ni le vin ni le vent
Manque rien ni le temps
Manque rien ni le pain sur la planche
Manque rien ni la chance
Dans les hautes plaines d'Anatolie plaines de steppes
Vivait un homme nomme Abdel ZEYNIKI eleve d'Alep
C'etait un vieux chanteur turc un chanteur aveugle
Bon poete et joueur de luth plume d'aigle comme ongle
Il chantait ce qu'il ne voyait pas la faune et la flore
De la vie des hommes et de leur trepas maudite soit l'aumone
Pour qu'il chante fallait une belle veillee digne d'ancetres
S'il chantait c'etait pour parjurer le mauvais sort fait aux etres
Dans une haute ferme d'Anatolie fume une chambre
Dans laquelle chante Abdel ZEYNIKI quittant son ombre
Il pouvait psalmodier jusqu'a l'aube lorgnant l'aurore
Son soleil et sa lumiere chaude venant du dehors
Il tatait comme ca en avancant une canne comme epee
Quand soudain il sent le corps brulant d'un oiseau a ses pieds
De ses deux mains il l'enveloppa le portant a ses levres
Il lui chante un poeme kizil bach plus beau que l'or des orfevres
Dans les hautes coutumes d'Anatolie il y a celui de l'accueil
On ne laisse un oiseau ni gir ni gemir esseule sur son seuil
Et le geste d'Abdel ZEYNIKI est celui d'un enfant
Qui va faire de son ame si petit un amour bien plus grand
Et l'oiseau ne pouvant plus voler etait bien a l'ecoute
Du rhapsode a la voix voilee par la poussiere de la route
C'est en ecoutant tout le temps restant que ses ailes ont pousses
Et qu'Abdel bien moins aveugle qu'avant a fini par migrer
Qu'est ce que tu vantes l'exode des tiens
Rhapsode rhapsode t'ecouter c'est commode
Quand tu changes de mode lydien
Manque rien ni le vin ni le vent
Manque rien ni le temps
Manque rien ni le pain sur la planche
Manque rien ni la chance
Dans les hautes plaines d'Anatolie plaines de steppes
Vivait un homme nomme Abdel ZEYNIKI eleve d'Alep
C'etait un vieux chanteur turc un chanteur aveugle
Bon poete et joueur de luth plume d'aigle comme ongle
Il chantait ce qu'il ne voyait pas la faune et la flore
De la vie des hommes et de leur trepas maudite soit l'aumone
Pour qu'il chante fallait une belle veillee digne d'ancetres
S'il chantait c'etait pour parjurer le mauvais sort fait aux etres
Dans une haute ferme d'Anatolie fume une chambre
Dans laquelle chante Abdel ZEYNIKI quittant son ombre
Il pouvait psalmodier jusqu'a l'aube lorgnant l'aurore
Son soleil et sa lumiere chaude venant du dehors
Il tatait comme ca en avancant une canne comme epee
Quand soudain il sent le corps brulant d'un oiseau a ses pieds
De ses deux mains il l'enveloppa le portant a ses levres
Il lui chante un poeme kizil bach plus beau que l'or des orfevres
Dans les hautes coutumes d'Anatolie il y a celui de l'accueil
On ne laisse un oiseau ni gir ni gemir esseule sur son seuil
Et le geste d'Abdel ZEYNIKI est celui d'un enfant
Qui va faire de son ame si petit un amour bien plus grand
Et l'oiseau ne pouvant plus voler etait bien a l'ecoute
Du rhapsode a la voix voilee par la poussiere de la route
C'est en ecoutant tout le temps restant que ses ailes ont pousses
Et qu'Abdel bien moins aveugle qu'avant a fini par migrer
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