Žodžiai dainai: Hugues Aufray. New Yorker. Tout Comme Une Vraie Femme.
Personne ne connait ma peine.
je traine la nuit seul sous la pluie.
Cci tout le monde me dit.
Qu'elle reve de luxe la nuit.
Hier pourtant j'l'ai vu, denouer ces rubans,
ces cheveux dans le vent.
Elle fait tout comme une vraie femme.
Meme l'amour elle le fait
tout comme une vraie femme.
Mais d'amour elle souffre, tout comme une vraie
Mais elle se brise, tout comme une petite fille.
Mais elle se brise, tout comme un petite fille.
Il a plut des l'premier jour.
Je brulais de soif et d'amour.
En venant ici, ta malchance, me poursuit.
Mais le pire ett qui me fait tant souffrir, c'est que j'dois partir.
J'peux plus rester la, je suis tout juste plus a ma place.
(Voici le temps de se quitter.)
Mais quand on s'reverra, comme de simple amis.
Ne leurs dis pas qu'on s'connaisait deja.
Qu'on vivait la boheme sur le meme toit.
Elle simule, tout comme une vraie femme.
Mais l'amour, elle le fait tout comme une vraie femme.
Mais d'amour, elle souffre. tout comme une vraie femme
mais elle se brise tout comme une petite fille.
Ces cheveux dans le vent, elle fait tout comme une vraie femme.
Meme l'amour, elle le fait tout comme une vraie femme. Mais d'amour, elle souffre tout comme une vraie femme.
Mais elle se brise, tout comme une petite fille.
(Merci a Guadix Mael pour cettes paroles)
Aufray Hugues
New Yorker
Aufray Hugues
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