Žodžiai dainai: Danakil. Heritiers Du Sort.

(refrain)
Aussi loin que l?oeil peut voir,
Je ballade ma retine sur les courbes de l'histoire.
Meme si sa semble dur a croire,
La map Monde ce colore a l'encre noir.

Si je regarde bien, si je gratte a la porte,
Je voit ce dessine les traits d'une epoque un peu triste,
Mais qui reve de vivre, et vis un reve, un equilibre que l'etre humain lui enleve.

Alors que faire, quand les vent nous acheve?
Nos vies sont breve lorsque la mer ce souleve.
Est-ce de ma faute, si les volcans ce reveillent,
Si la terre meurt d'etre seche ou elle se noyait la veille?

Y'a-t-il un avenir pour nos fils dans la ronde?
Vivront-il en paix, devront-il mener la fronde ?
A l'heure ou les chefs on des montres a dix plaques,
Les enfant courent les rues, et ce lavent dans les flaques.

Triste sort, pour les heritiers du sort,
Les joie sont mal repartie, pire encore, le sont les tords.
Donne moi une bouffee d'air pour leur coupe l'air,
Vos tueur de liberte, les assaillir de verbes.

Quelqu'un me donnera t-il ces couleurs,
Au monde noir et blanc qui ce tord de douleur.
J'y repense, assit sur ma falaise,
Voyant montee la maree aussi vite que le malaise.

(refrain) /bis/

J'ai comme l'impression de rouler a contre sens,
Depuis des annees, depuis ma naissance,
En tout pret, au plus pret par l'amour et la douceur,
Mais rattrape par la violence exterieur.

Une violence qui prend les jeunes au berceau,
Les gourgons leurs fait confondre le collectif et le perso,
Perdu, l'ame du monde et a la peine,
Ne compter pas sur l'eglise pour lui venir en aide.

Fatigue d'entendre le Pape en Afrique,
Acclame que l'amour de dieu rejette le plastique .
Malade, et cet ecorche de la feuille incite en ces fideles a mourir larme a l'oeil.

Nourrit d'un dogme en deuil, pour quelques mots sains,
Ecrit sur quelque feuilles,
Irresponsable, la croyance blesse,
Dans les mauvaises mains qui la laisse devenir mere de la detresse.

Quelque phrases pendant les quelles mon coeur s'embrasent,
Quelques phase, quand la goutte fait deborder le vase.
Ce monde est ainsi fait entre le vis et le bonheur,
La vertu, et la peur esperant des jours meilleurs.

(refrain) /bis/ ....


(Merci a Vincent pour cettes paroles)