Žodžiai dainai: Gérard Manset. Est-ce Ainsi Que Les Hommes Meurent ?.
Depuis bien longtemps deja,
J'ai cesse d'ecrire,
Cesser de lever les yeux,
Cesse de relire.
Dans le parc, devant la grille,
Les hommes arrivent
Et juste une trace de pas
Le long des rives,
Juste une trace de pas
Le long des rives.
Depuis bien lontemps,
Je ne dirige plus les musiciens.
Depuis bien lontemps,
Laisse pendu l'habit de magicien
Dans le parc, devant la mer.
Les robes blanches,
Enfants fragiles comme du verre,
Jouent sous les branches,
Enfants fragiles comme du verre,
Jouent sous les branches...
Est-ce ainsi que les hommes meurent ?
Et leur parfum, au loin, demeure.
Depuis bien longtemps deja,
J'ai cesse de vivre,
De toucher du bout des doigts
La tranche des livres.
Dans le parc, devant la rive,
Des bruits etranges,
Bruissements d'ailes, lumieres,
Cheveux des anges,
Le bruissements des ailes, les lumieres,
Les cheveux des anges...
Depuis bien lontemps deja,
Le seul souvenir
D'une miette de vie encore
Que je respire,
Dans le parc devant l'allee,
Le vide immense.
Bruits des pas sur le gravier,
De mon enfance,
Les bruit des pas sur le gravier,
Les ombres dansent...
Est-ce ainsi que les hommes meurent ?
Et leur parfum, au loin, demeure,
Et leur parfum, au loin, demeure
J'ai cesse d'ecrire,
Cesser de lever les yeux,
Cesse de relire.
Dans le parc, devant la grille,
Les hommes arrivent
Et juste une trace de pas
Le long des rives,
Juste une trace de pas
Le long des rives.
Depuis bien lontemps,
Je ne dirige plus les musiciens.
Depuis bien lontemps,
Laisse pendu l'habit de magicien
Dans le parc, devant la mer.
Les robes blanches,
Enfants fragiles comme du verre,
Jouent sous les branches,
Enfants fragiles comme du verre,
Jouent sous les branches...
Est-ce ainsi que les hommes meurent ?
Et leur parfum, au loin, demeure.
Depuis bien longtemps deja,
J'ai cesse de vivre,
De toucher du bout des doigts
La tranche des livres.
Dans le parc, devant la rive,
Des bruits etranges,
Bruissements d'ailes, lumieres,
Cheveux des anges,
Le bruissements des ailes, les lumieres,
Les cheveux des anges...
Depuis bien lontemps deja,
Le seul souvenir
D'une miette de vie encore
Que je respire,
Dans le parc devant l'allee,
Le vide immense.
Bruits des pas sur le gravier,
De mon enfance,
Les bruit des pas sur le gravier,
Les ombres dansent...
Est-ce ainsi que les hommes meurent ?
Et leur parfum, au loin, demeure,
Et leur parfum, au loin, demeure
Gérard Manset
Gérard Manset
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