Žodžiai dainai: Jérôme Attal. La Théorie Des Nuages.
Avenues de matin meme
J'etais de son aveu meme
Le vilain de passage.
Revenu de pretentaine
J'etais devenu sans peine
L'elu de ses suffrages.
Mais l'on s'interroge
Ou bien l'on deroge
A la course des nuages.
De silence en silence
On perd de l'importance
Dans la vie de l'autre prise en otage.
J'etais de l'espece humaine
Le plus laid des specimens
Des vilains de passage.
Mal venu de dire "je t'aime"
Quand on a pris pour embleme
Le baratin d'usage.
Mais l'on s'interroge
Ou bien l'on deroge
A la course des nuages.
De souffrance en souffrance
On prend de la distance
Dans la vie des autres prise en outrage.
Mais l'on s'interroge
Ou bien l'on deroge
A la course des nuages.
De nuance en nuance
On perd de l'innocence
C'est la tyrannie des nuages.
J'etais de son aveu meme
Le vilain de passage.
Revenu de pretentaine
J'etais devenu sans peine
L'elu de ses suffrages.
Mais l'on s'interroge
Ou bien l'on deroge
A la course des nuages.
De silence en silence
On perd de l'importance
Dans la vie de l'autre prise en otage.
J'etais de l'espece humaine
Le plus laid des specimens
Des vilains de passage.
Mal venu de dire "je t'aime"
Quand on a pris pour embleme
Le baratin d'usage.
Mais l'on s'interroge
Ou bien l'on deroge
A la course des nuages.
De souffrance en souffrance
On prend de la distance
Dans la vie des autres prise en outrage.
Mais l'on s'interroge
Ou bien l'on deroge
A la course des nuages.
De nuance en nuance
On perd de l'innocence
C'est la tyrannie des nuages.
Jérôme Attal
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