Žodžiai dainai: Ludwig Von 88. Hibakusha.
Dans la torpeur ecrasante des nuits
Qui les laissent esseules mourant
Cherchant reconfort dans la fuite
Les yeux attristes, le corps brulant
Ils vont, errant sans trop comprendre
Pourquoi l'enfer s'est abattu
Fournaise eternelle sur leur corps
Reduisant leur vie a neant
Ils vont meurtris sans trop d'espoir
Vers un futur marque de noir
Un mal interieur les oblige
A rester resignes et passifs
Redoutant qu'un soir au ciel vague
L'eclair les rattrape et les emporte
Les femmes, les hommes, les enfants
S'ecroulant, gorge seche et nouee
Dans ce brouillard qu'est leur futur
Ils survivent faibles et angoisses
Et ce feu profond qui les ronge
Les amoindri jour apres jour
Pariant leurs chances de guerison
Sur l'improbable apparition
D'un arc-en-ciel multicolore
Dans un ciel sec et insensible
Qui les laissent esseules mourant
Cherchant reconfort dans la fuite
Les yeux attristes, le corps brulant
Ils vont, errant sans trop comprendre
Pourquoi l'enfer s'est abattu
Fournaise eternelle sur leur corps
Reduisant leur vie a neant
Ils vont meurtris sans trop d'espoir
Vers un futur marque de noir
Un mal interieur les oblige
A rester resignes et passifs
Redoutant qu'un soir au ciel vague
L'eclair les rattrape et les emporte
Les femmes, les hommes, les enfants
S'ecroulant, gorge seche et nouee
Dans ce brouillard qu'est leur futur
Ils survivent faibles et angoisses
Et ce feu profond qui les ronge
Les amoindri jour apres jour
Pariant leurs chances de guerison
Sur l'improbable apparition
D'un arc-en-ciel multicolore
Dans un ciel sec et insensible
Ludwig Von 88
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