Žodžiai dainai: Pierre Perret. Femmes Battues.
Tabassee a mort par amour,
Parait qu'c'est courant de nos jours
Le metier d'epouse n'est pas sur
Quand on est la femme d'un vrai dur.
Mais celle qu'il appelle sa trainee
D'infidelite soupconnee
A pourtant aime ce debris
Qui la frappe a bras raccourcit.
Oui c'est a toutes les femmes battues
Qui jusqu'a present se sont tues
Frappees a mort par un sale con,
Que je dedie cette chanson.
Au commissariat du quartier
La femme tumefiee et l'epoux
Sont debout devant le brigadier
Qui soupire et dit : "encore vous !
Votre mari present, chere madame,
Pretent qu'vous l'avez bien cherche,
Pourquoi faire alors tout un drame ?
Vous n'etes pas tellment amochee !"
Oui c'est a toutes les femmes battues
Qui jusqu'a present se sont tues
Frappees a mort par un sale con,
Que je dedie cette chanson.
Il pretend qu'vous estes econome
Du tissu qui cache vos rondeurs
En vous corrigeant, c'est en somme
Qu'il apaise un peu sa rancoeur.
Rentrez tous les deux vous coucher
Ca va s'regler sur l'oreiller
Les voisins n'vont pas protester
En d'vinant pourquoi vous criez !
Oui c'est a toutes les femmes battues
Qui jusqu'a present se sont tues
Frapees a mort par un sale con,
Que je dedie cette chanson.
Tant qu'les voies de fait sont benignes
Des blessures ouvertes ou des bleus,
Pour nous, policiers, la consigne
C'est de n'pas sevir pour si peu.
S'il vous etouffait sous la couette,
S'il vous etranglait de ses mains,
Nous pourrions ouvrir une enquete,
Vous n'seriez pas morte pour rien !
Oui c'est a toutes les femmes battues
Qui jusqu'a present se sont tues
Frappees a mort par un sale con
Que je dedie cette chanson.
(Merci a christine gourdon pour cettes paroles)
Parait qu'c'est courant de nos jours
Le metier d'epouse n'est pas sur
Quand on est la femme d'un vrai dur.
Mais celle qu'il appelle sa trainee
D'infidelite soupconnee
A pourtant aime ce debris
Qui la frappe a bras raccourcit.
Oui c'est a toutes les femmes battues
Qui jusqu'a present se sont tues
Frappees a mort par un sale con,
Que je dedie cette chanson.
Au commissariat du quartier
La femme tumefiee et l'epoux
Sont debout devant le brigadier
Qui soupire et dit : "encore vous !
Votre mari present, chere madame,
Pretent qu'vous l'avez bien cherche,
Pourquoi faire alors tout un drame ?
Vous n'etes pas tellment amochee !"
Oui c'est a toutes les femmes battues
Qui jusqu'a present se sont tues
Frappees a mort par un sale con,
Que je dedie cette chanson.
Il pretend qu'vous estes econome
Du tissu qui cache vos rondeurs
En vous corrigeant, c'est en somme
Qu'il apaise un peu sa rancoeur.
Rentrez tous les deux vous coucher
Ca va s'regler sur l'oreiller
Les voisins n'vont pas protester
En d'vinant pourquoi vous criez !
Oui c'est a toutes les femmes battues
Qui jusqu'a present se sont tues
Frapees a mort par un sale con,
Que je dedie cette chanson.
Tant qu'les voies de fait sont benignes
Des blessures ouvertes ou des bleus,
Pour nous, policiers, la consigne
C'est de n'pas sevir pour si peu.
S'il vous etouffait sous la couette,
S'il vous etranglait de ses mains,
Nous pourrions ouvrir une enquete,
Vous n'seriez pas morte pour rien !
Oui c'est a toutes les femmes battues
Qui jusqu'a present se sont tues
Frappees a mort par un sale con
Que je dedie cette chanson.
(Merci a christine gourdon pour cettes paroles)
Pierre Perret
Pierre Perret
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