aucune importance, Le principal, C'est que sa balance, Pour faire une jam. On perd en l'eclair d'un instant, La notion du lieu et du temps,
Parle-moi Console-moi J'ai peur du jour qui va naitre Il sera le dernier peut-etre Que notre bonheur va connaitre Serre-moi Apaise-moi Quand j'ai l'angoisse du
: Pour ces desirs qui nous inondent Et se traduisent peu a peu En des instants de fin du monde Merci mon Dieu Pour ce destin que l'on se forge Avec des
: Lorsque l'on tient, Entre ses mains, Cette richesse, Avoir vingt ans, Des lendemains pleins, De promesses, Quand l'amour, Sur nous, Se penche
: J'entendais de puis mon jeune age Mon papa qui me disait Prends bien garde aux femmes volages A l'amour et ses attraits J'avais ca dans la memoire
de champagne frappe Eclaire par quatre bougies allumees Sur la table Il y avait du fromage, des fruits, des sables Il y avait quelques liqueurs et du cafe Du
: Bal du faubourg Valse d'amour Bonheur du jour Bal populaire Valse legere Un brin de coeur Comme les gamins Les amoureux Main dans la main S'en vont
une maitresse Paris m'a fait gouter le fond De nouvelles ivresses Dans les rues j'allais en chantant Sans avoir un centime Et j'ai vecu de l'air du temps
est deja Des que j'ouvre la porte Il me vient me faire escorte Et me suit partout pas a pas Me parlant sans cesse a mi-voix Me montrant les choses du
parti Adam se dit Ben mon ami, T'es mieux ici Que dans une usine T'as une poupee Une beaute Qui est roulee Comme pour touner A la Goldwine Et ce brave
: Je te donnerai A chaque seconde Tout l'amour du monde Qui sommeille en moi Je te donnerai Toutes les richesses Que notre jeunesse Garde au fond de
: Je n'ai jamais connu mon pere On dit que ma mere non plus Aussi j'ai grandi sans maniere Sans que personne ne m'ait reconnu Enfant je fauchais aux
a pleure Sur le quai d'une gare Mon amie En denouant Nos mains, serrees Sur toute une romance De Paris J'aurai pas du m'en aller J'aurai pas du te laisser
: Par la peur de te perdre, Et de ne plus te voir, Par ces mondes incenses, Qui grouillent dans ma tete, Par ces nuits sans sommeil, Ou la folie
: Quand tu vois que la vie me depasse Que je me crois perdu malgre toi Et qu'en mon coeur naissent les angoisses Mon amour, protege-moi Quand tu vois
sont compris Il y a eu le destin Qui a pousse l'gamin A lui prendre la main Il y a eu la chaleur La chaleur du bonheur Qui leur montait au coeur