Et quand il croit Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix Et quand il croit serrer son bonheur il le broie Sa vie est un etrange et douloureux divorce Il n
me prenait Je t'avais promis en te quittant De revenir charge de diamants De quoi faire palir le soleil et la lune Mais je n'ai que la peau et les os
pays Qu'il etait cela ou ceci. N'en croyez rien. On vous dira, peut-etre encore, Que la nuit, il couchait dehors Ou bien qu'il etait cousu d'or. N'en
le sang qu'ont verse Les hommes dans la plaine Et tous les trepasses Des causes incertaines Ont fait qu'a ce verger Il pousse par centaines La rose et
, Je tangue, je chavire, et comme la rengaine, Je vais, je viens, je vire, je me tourne, je me traine, Ton image me hante, je te parle tout bas, Et j'
fille s'est mise a chanter Et son chant plane sur la ville Hymne d'amour et de bonte Mais sur la ville il fait trop chaud Et pour ne point entendre son
feu de joie Et puis un jour, c'est la bataille. Meurent la rose et le lilas. Fini le temps des epousailles. C'est la guerre entre toi et moi Et le voila
Toutes les nuits, cahin-caha, S'effeuillent au calendrier. Tu ne te souviendras pas De mon visage, de mon nom. Les marionnettes d'ici-bas Font trois petits tours et
? Pour quel ardent amour, Pour quelle noble dame La rose de velours Au jardin que voila ? Et ces prunes eclatees, Et tous ces lilas blancs, Et ces grosseilles rouges, Et ces rires d'enfants, Et